MUSU MININE KATU WABULA » Tel est le titre d’une chronique qui est publiée dans la livraison de demain, jeudi 12 mars 2021, de GEOPOLIS trihebdomadaire, paraissant à Kinshasa. Cet extraordinaire titre que j’ai pris momentanément de l’Ecrivain Monsieur Mpoyi L. Kadima, ingénieur en chimie industrielle, une de brillantes plumes de Kananga/Kasaayi central. Auteur de plusieurs essais et romans. Pourquoi ce titre ?
Pourquoi cet emprunt ?
Tout simplement en marge et de la Journée Internationale des Droits de la Femme, et de la Journée dédiée aux Mères et du mois de mars 2021 consacré aux Femmes.
J’ai voulu par ce récit, hors commun, rendre un vibrant hommage à nos deux Mamans respectives, loin des micros et des caméras, qui ont su faire de nous des hommes respectueux de valeurs. Je raconte, sous cette merveilleuse sentence, comment notre Mère MBOMBO MWANZA SOMBA MANYA (1928-2012), Paix à son âme, encourageait, félicitait, soutenait chacun de ses enfants ayant réalisé un exploit…
J’en profite pour m’attarder, par le menu, sur la façon dont la première IMPULSION de ma vie, par l’intervention énergique de Mbombo Mwanza Somba Manya, m’a poussé à rencontrer une des phases décisives de mon existence, à 3/4 ans… Et c’est cette phase qui m’amènera à rencontrer l’art le plus éminent, l’art de la PAROLE, l’art dramatique : le THEATRE, à 8/9 ans… Analphabète (pour le français) de son état, mais remplie de Culture de notre Identité, vigilante et prête à son POSTE de Mère – éloignée et de parité et du FAUX (fausse chevelure, faux sourcils, fausses ongles, etc.) – MBOMBO MWANZA SOMBA MANYA a intuitivement ressenti l’occasion unique que me tendait, ce soir-là, à Panda/Likasi, le DESTIN…
Merci, monsieur l’Ecrivain de cet excellent partage… Ce texte est d’ores et déjà intégré dans le 9 ème tome de mes Mémoires sous presse aux éditions du CEPROLA… Que le Seigneur en soit glorifié à jamais, et accorde à nos MAMANS une grâce spéciale ! «
Katsh
