Depuis quelques semaines, le staff dirigeant de la Société congolaise des Postes et Télécommunications fait l’objet d’une série de dénonciation calomnieuse. Profitant de l’avènement de l’État de droit prôné par le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, certaines personnes en mal de positionnement et déterminées de nuire aux dirigeants des entreprises publiques en pleine émergence, se livrent à un exercice fallacieux de monter de faux dossiers en justice contre le Directeur général de la SCPT Patrick Umba et toute son équipe.
A en croire les syndicalistes de la Société congolaise des Postes et Télécommunications qui dénoncent cette cabale, cités par Scoop RDC, le détracteur de Patrick Umba est bien connu. Il s’agit notamment d’un ancien trésorier, révoqué depuis le 26 Avril 2019, sur décision du conseil d’Administration pour beaucoup de griefs à sa charge, notamment le détournement d’au moins 1million de dollars US constaté par un audit officiel effectué en décembre 2016, par le conseil permanent de la comptabilité. Selon les sources de la délégation syndicale de la SCPT, derrière le nommé Dominique Bamoleke Bandja, il y aurait des mains noires de l’ancien comité de gestion et probablement du PCA qui a saisi le Parquet général de Kinshasa/Matete avec un dossier d’un prétendu détournement monté contre les actuels dirigeants de la SCPT.
Par médias interposés, les détracteurs du comité de gestion chapeauté par le DG Patrick Umba ne font que renconter tout ce qui leur passe à travers la tête, avec tout le risque d’être ainsi poursuivi pour diffamation.
Selon une analyse faite par le banc syndical de la SCPT, il s’agit tout simplement d’une cabale de personnes qui ont échoué par le passé dans leur gestion de l’entreprise et qui sont jaloux du succès réalisé par Patrick Umba et toute son équipe, avec des résultats palpables malgré le sabotage caractérisé par le sectionnement de la fibre optique qui relie Moanda à Kinshasa, par des inciviques dont les commenditaires seraient à Kinshasa, fait aussi remarquer le site d’informations en ligne, Scoop RDC. L’objectif de ce sectionnement n’est autre que de faire fuir les abonnés et affaiblir la rentabilité de la société.
Les syndicalistes de la SCPT disent par ailleurs se féliciter du bilan largement positif à l’actif du Staff Umba. Ils notent notamment la diminution sensible des arriérés des salaires qui sont passés de 20 ans à 6 mois ce jour, un apurement opéré grâce aux efforts du seul comité de gestion actuel. Malgré la crise sanitaire qui frappe la RDC, et qui a imposé le confinement et réduit la production, le comité sous l’impulsion managériale de Patrick Umba est parvenu tout de même à payer les deux mois de salaires aux agents.
Il faut également noter que le comité Umba a, à son actif, l’acquisition en octobre 2019, sur fonds propres de l’entreprise, des équipements de transmission qui vont augmenter de manière considérable, le transport des capacités de la phase 1, en la faisant passer de 20 gigas actuellement exploités à 100 gigas extensibles. Pour le banc syndical, ce sont toutes ces réalisations du comité Umba en si peu de temps qui ont suscité la jalousie de tous les détracteurs qui veulent à tout prix nuire à l’image du staff Umba.
Les syndicalistes de la SCPT estiment par contre que s’il faut amorcer les poursuites judiciaires, elles doivent en principe l’être en l’encontre de l’ancien trésorier Dominique Bamoleke Bandja. Selon le confrère Scoop RDC, la direction juridique de la société qui a apprêté son dossier a déjà saisi la justice. Il est fort probable que le principal détracteur de la SCPT soit poursuivi.
Pour plusieurs analystes, l’avènement d’une justice véritablement indépendante et cela dans un contexte d’un État de droit, ne doit pas être une occasion pour des personnes en mal de positionnement de vouloir régler des comptes aux autres, à travers des dossiers montés de toute pièce. Il est donc impérieux que la justice reste totalement indépendante pour rejeter et débouter tous les dossiers montés dans le seul but de nuire aux autres, surtout aux dirigeants des entreprises publiques qui sont de plus en plus la cible de plusieurs détracteurs.
Geopolis Hebdo
