Depuis qu’elle a décidé de se lancer dans la course à la députation nationale, maître Liliane Bibombe Oseka Mwembia ne ménage aucun effort pour parcourir les cinq communes de Kimbanseke, Maluku, Masina, Ndjili et Nsele qui composent le district de Tshangu, le plus grand dans la ville-province de Kinshasa où habite la majorité des Kinoises et Kinois, en vue de sensibiliser la population et surtout, les potentiels électeurs sur la nécessité de construire un avenir meilleur basé sur l’unité et la solidarité.
Pour ce faire, Liliane Bibombe Oseka Mwembia a développé l’idée selon laquelle la plupart des problèmes qui perturbent cette partie de la capitale sont dus au fait qu’ils sont vécus individuellement et s’imposent en toute puissance à chacun des habitants de manière isolée. C’est pourquoi, le dossard numéro 377 estime qu’il y a une force qu’il est possible de constituer si les unes et les autres se mettent ensemble.
Pour illustrer ces propos, Liliane Bibombe Oseka Mwembia a organisé des séances de Salongo (Ndlr : Salubrité publique) dans certains quartiers insalubres de cette partie de la capitale Congolaise. Grâce aux apports des uns et des autres et au temps consacré à cette activité, plusieurs lieux ont été assainis. Cette méthode qui utilise la méthode HIMO (Haute intensité de la main-d’œuvre) et basée sur la participation des tous pour la résolution des problèmes spécifiques est la voie à suivre que maître Bibombe propose pour Tshangu qui ne manque pas de main-d’œuvre et où la population est très dynamique.
S’enfonçant au fond de la Tshangu, elle a visité des quartiers comme Ndako Ya Pembe, Kintini, Bita, Menkao…pour ne citer que ceux-ci sur le plateau des Bateke où elle a discuté avec ses compatriotes confrontés aux problèmes d’insécurité de plus en plus grandissante, de l’approvisionnement en eau potable, les semences améliorées et d’autres problèmes communautaires.
Femme de terrain, Liliane Bibombe Oseka Mwembia a partagé sa méthode d’user du cerveau collectif pour résoudre les différents problèmes car, la force est dans la solidarité et dans l’unité de l’action. Partout où elle passe, elle apporte certes un soutien matériel mais bien plus, elle motive ses interlocuteurs à ne pas baisser les bras et à agir comme les premiers fervents chrétiens qui mettaient tout ensemble et résolvaient leurs problèmes dans la solidarité.
Message très bien reçu surtout par les femmes qui ont d’ailleurs adhéré massivement à la Fondation KABI pour suivre des formations sur la fabrication des savons, sur les premiers soins, sur le management familial et autres.
Voulant prêcher par l’exemple, la candidate numéro 377 aux législatives nationales à Tshangu, a fait des forages d’eau et permet à la population de s’approvisionner régulièrement en eau potable, une denrée rare dans cette partie de la capitale Congolaise.
A l’observation des actes posés par Liliane Bibombe, on sent une forte adhérence aux questions sociales et un engagement qui dépasse le cadre des élections et qui va vers la réhabilitation de l’humain. La population est sensible à cette démarche et s’est engagée à la soutenir pour obtenir plus de pouvoirs en vue de vulgariser cette méthode. Pour les élections législatives du 20 décembre prochain, Tshangu devra compter sur Liliane Bibombe, la candidate 377.
Tshiamala Pierre
