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Quand la démocratie congolaise est perçue comme une menace dans les pays voisins .: Les services de sécurité cibles d une campagne de dénigrement sans précédent

.Tous y passent , du Demiap , à l Anr en passant par la direction général de migration ce sont des attaques pour dénigrer ces services et leur offrir une image négative sur le plan international en vue de freiner la machine démocratique qui se .Nourrit des droits multiples assurées par les différentes administrations qui ont dirigées à ce jour le pays .

C est au Congo que la liberté de presse est promue ou l exercice de cette profession s est appropriée des droits de plus en plus essentiels . Il est aisé de constater que depuis la chute du mur de Berlin le pays de Lumumba a eu une courbe croissante en matière des libertés politiques .

Les différentes guerres suivies des négociations jusqu’à la promulgation d une nouvelle constitution ont permi à l arsenal juridique de la Rdcongo de se construire comme une architecture démocratique avec une dynamique interne d équilibre entre les forces en présence .

Aujourd’hui que la république démocratique du Congo est à son quatrième cycle électoral , il se dégage dans la sous région une pression au sein des pays voisins de la rdc ou les oupinions publiques estiment avoir droit aux mêmes libertés que les congolais .

C est ainsi que ces pays voisins à la rdc ne pouvant offrir à leurs populations les mêmes libertés que la rdc offre à ses citoyens ont décidé de la politique de confinement de la démocratie aux seules frontières du Congo . Cette stratégie pour salir kinshasa consiste à montrer que les réalités montrées par les médias congolais d une population qui s exprime réellement sont en fait un leurre car la réalité serait plus grave . Pour arriver à cet objectif ils ont choisi de dénigrer les différents services de sécurité et de les peindre comme des lieux de violation des libertés individuelles et de torture pour citoyens politiquement incorrects .

Par des articles de presse , par
Des tweets assassins ils accentuent leur description des faits normaux comme des appréhensions politiques . Que ce soit la Demiap ou l Anr sans oublier la Dgm tout y passe pour démontrer que les services de sécurité ne garantissent pas le respect des droits humains .

L astuce est de taille car quel pays peut conserver son statut de pays démocratique si ses services de sécurité et ses forces de défense sont perçus comme des violateurs des droits fondamentaux ?

Aujourd’hui le processus en cours est l objet des complots abjects de la part de certaines officines qui ont trouvé des bases arrières dans les différents pays voisins et qui mènent des actions de sape dont la plus spectaculaire est celle de vouloir saboter le processus électoral pour qu il n y ait plus des élections .

Ils ne peuvent accepter que des nouvelles autorités s imposent par le jeu démocratique et s ancrent dans la communauté nationale . Ils deviendront forts ainsi inattaquables aux regards dés manipulations multiples qui se positionnent en embuscade .
Aujourd’hui c’est une évidence que le processus électoral est sous une forte pression par des intérêts divergents qui veulent prendre en otage un peuple qui n a fait que souffrir d une puissante histoire de tragédie et de pillage .

Heureusement les intelligences au niveau des services de sécurité se sont vite remis en danse pour démanteler les différents plans en exécution dans le pays .

C est dans cet ordre qu il faut placer la question des valises satellitaires dont l Union européenne a fait une condition sine quane pour continuer son observation électorale. Désormais c est de la fermeté souveraine qui est l option congolaise et les autorités n entendent rien céder sur ce chapitre .

R. Tanzey

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