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Dans une conférence de Leadership de la femme des médias à URK : La gestion des préjugés et du succès des acteurs médiatiques féminins en débat

La femme des médias et son leadership dans la societé congolaise, gestion des préjugés et du succès », c’est le thème de la conférence débat tenue ce 2 mars 2023 à l’université révérend Kim (URK), organisé par Leadership Féminin des femmes (LFM). Une rencontre avec les étudiants tenue dans un climat de convivialité, alors que le go a été donné par madame Joséphine qui est la présidente des étudiants de l’Institut facultaire des Sciences de l’Information et de la Communication (IFASIC).

Cette conférence débat a connu la participation de trois intervenantes à savoir : D’abord Grâce Kangundu journaliste à Agance Congolaise de presse (ACP) et présidente des journaliste féminins de la presse écrite, a relevé dans son intervention que les femmes des médias doivent être responsables et ambitieuses pour réaliser des performances en vue de faire face aux préjugés qu’elles pourraient faire l’objet dans la societé. Les jeunes filles journalistes ne doivent pas se focaliser dans la politique qui est bientôt monaie courante pour tout journaliste, elles doivent plutôt rester constantes dans leurs démarches en se fixant des ojectifs tout en ayant confiance en soi.

Deuxième intervenante, Mariam Balanga Directrice générale de Medias Business Télévision (BM TV). Elle a expliqué les défis que la femme des médias doit relever, ses perspectives d’avenir. Pour elle, la femme de médias doit être déterminée, mais dans l’observance des valeurs professionnelles. Elle a insisté sur le marquage exceptionnel de la femme journaliste, en travaillant pour ne pas compter sur son apparence. Cela les aideront à ne pas être porte-canapé, mais plutôt resiliante par leur tête.

Prenant la parole à son tour, Grace Shako qui est coordinatrice de League des femmes des medias, a fait savoir aux participants, qui sont des futurs journalistes, qu’il faudrait avoir la compétence et la seriosité dans le travail. Quand on sait ce qu’on veut, on ne s’attarde pas à se compromettre, indique-elle. La société congolaise a besoin des femmes pour l’instant, dit-elle, avant de lâcher : «on a pas de choix». Ça veut dire que la femme est appelée à être compétitive, à faire beaucoups plus de preuves pour que son environnement puisse l’accepter comme telle, a-t-elle ajouté.

Comme toute conférence, celle-ci tenue à Révérend Kim, a été aussi marquée par une séance des jeux des questions réponses, entre les étudiants et les intervenantes. Grâce shako a, en sus, rappelé la vision de la Ligue des Femmes des médias, qui est celle de booster la femme de ce secteur à un leadership basé essentiellement sur son savoir-faire, dans l’observance des principes moraux.

Patricia Mabungu

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