Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire s’est vu décerné un diplôme de patriotisme le Weekend dernier par la République Bolivarienne de Venezuela, un fait rare mais qui va booster le récipiendaire de cette récompense à doubler d’ardeur dans son combat.
Droit dans ses bottes, Steve Mbikayi a toujours lutté contre la domination étrangère. Une lutte qui ne restera pas sans récompense car le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire a vu son combat contre l’impérialisme et sa lutte acharnée contre les ingérences internationales dans les affaires internes de son pays ont payé.
La République Bolivarienne de Venezuela a reconnu, samedi 25 novembre, le combat de Steve Mbikayi en lui décernant un diplôme de patriotisme pour sa lutte contre l’impérialiste et son militantisme pour l’indépendance totale de son pays.
La cérémonie du couronnement a eu lieu au salon bleu des affaires étrangères dans la commune de la Gombe.
C’est l’Ambassadrice de la République Bolivarienne de Venezuela qui a remis personnellement ce diplôme de patriotisme au patron de l’Enseignement supérieur et universitaire congolais.
En réaction à cette reconnaissance, Steve Mbikayi a remercié la république de Venezuela pour cet acte ô combien louable et a promis de poursuivre cette lutte.
« Je commence d’abord par remercier le Venezuela pour cette marque de confiance et pour ce diplôme de patriotisme pour la lutte contre l’impérialisme pour l’indépendance totale de notre pays, les pays du sud notamment les pays africains. C’est pour moi une dette morale pour continuer le combat jusqu’au bout en m’inspirant des autres leaders nationalistes dans le monde qui ont eu à mener ce combat », a-t-il dit devant la presse.
Profitant de cette occasion, Steve Mbikayi a clarifié les choses sur les objectifs de son combat contre l’impérialisme.
« Mon combat pour le nationalisme et contre l’impérialisme n’est pas contre un peuple ou contre les puissances étrangères, c’est contre la domination étrangère, c’est contre le fait d’utiliser les causes nobles comme le droit de l’homme, la démocratie pour pouvoir nous dominer, nous exploiter et semer le chaos comme c’est le cas en Lybie. Aujourd’hui la Lybie est la capitale mondiale de l’anarchie, de violation de droits de l’homme et on n’en parle pas assez. C’est contre ces pratiques que nous luttons, nous voulons que nous soyons respectés comme un peuple », a-t-il déclaré.
Nous refusons, souligne-t-il, que les autres décident à notre place.
Géopolis Hebdo/ Depeche.cd
