Un dîner de gala, auréolé par la première dame, des participants triés sur le volet dans ce que compte de meilleur dans le domaine des médias. Une salle pleine des hommes de qualité , la directrice générale a embrayé sur la nécessité pour la rtnc de se préparer à la conquête des chantiers énormes notamment l’urgence pour la femme de maîtriser le digital en vue de s armer pour le défi du développement, de se préparer à se déployer pour une couverture optimale et professionnelle.
Le ministre muyaya quant à lui à salué le saut qualitatif effectué par la rtnc qui a pris un virage vers le nouveau narratif grace aussi à une féminisation des postes de responsabilité qui n’est pas une mince affaire dans un univers où la perception de l’ascencion des femmes fut plafonné à des niveaux de cadres inférieures. Soirée haute en couleurs avec la participation remarquée de la première dame Denise nyakeru Tshisekedi, du président du sénat, des autres ministres comme Wivine Moleka, ect…
Le moment était aussi choisi pour faire un appel des fonds en vue de réhabiliter le centre de santé de la télévision nationale qui est en piteux état. Comment s’étonner des cas récurrents des problèmes de santé des agents si les structures de prise en charge sont de mauvaise qualité. Ainsi, il a fallu cette occasion de là célébration du mois consacré aux droits de la Femme pour remettre sur le tapis l’organisation de cet hôpital.
Après les souscriptions qui furent précédées par des témoignages des anciennes. Témoignages poignants retraçant l’histoire de la télévision nationale creuset de la
Conscience nationale. Elles se sont passées le mot, celui-ci a été un ensemble mots puissants capables de réveiller la compassion et l’altruisme des participants qui ont contribué à cette action caritative.
Soirée ponctuée de grandes chansons de l’époque interprétées par des artistes de talent. Ils ont eu droit à des scènettes assurées par Tchaka Tshipamba. On peut dire que le nouveau leadership de la rtnc est assuré par une femme qui a énormément modifié les différentes approches pratiquées jusque-là et qui veut mener la chaîne nationale dans les standards professionnels acceptables. Elle n’a pas encore fait cent jours mais on peut sentir cette main experte à l’œuvre au sein de la chaîne nationale dont le rôle est primordial dans cette période de guerre. Moment fort qui a manifesté une relation puisante entre la directrice générale et son personnel.
Robert tanzey
