L’assainissement des communes de la ville de Kinshasa est une des priorités du gouverneur de la ville de Kinshasa.
Les bourgmestres de la capitale ont été invité récemment par le gouverneur pour des instructions et des directives sur ce qui est de l’assainissement de leurs communes respectives surtout lorsqu’il n’est un secret pour personne que les kinois sont très négligents dans ce domaine de la propreté.
Quelques communes sont déjà à pied d’œuvre à l’instar des communes de Ngiringiri, Gombe pour ne citer que celles-là, où une implication des autorités municipale est saluée.
Selon le constat fait sur terrain les administrés ne sont pas directement impliqués pour prêter main forte à leurs bourgmestres, une collaboration qui s’avère importante pour l’évolution des communes dans le sens de leur revêtir des nouvelles robes.
A Ngiringiri par exemple, c’est l’Office des voiries et drainage (OVD), qui exécute les travaux de curage des caniveaux sous la barbe de ses administrés qui admirent.
Selon certains habitants de cette commune, le go pour l’assainissement et le curage des caniveaux doit venir de l’autorité qui jusque là ne s’est pas encore prononcée.
Mais l’entourage du bourgmestre laisse entendre que très bientôt une opération d’envergure sera lancée pour ces travaux et matérialiser la vision du chef de l’État et du gouverneur de la ville.
Du côté de la commune de la Gombe, siège des institutions, tout semble tourner comme sur des roulettes déjà parce-que les services d’assainissement date de plusieurs années et cette commune reste de loin la plus propre de toutes.
Il sied donc de rappeler le rôle des bourgmestres est non seulement de gérer leurs administrés, mais aussi de maintenir les communes propres, cela va de l’image même du pays.
Pour certains observateurs, en lieu et place de rester cloîtré dans leurs bureaux climatisés, les bourgmestres doivent développer des stratégies notamment chercher des jumelages avec d’autres communes ou villes d’ailleurs pour valoriser entre autre notre culture.
PKN
