Le contrôle est l’examen de quelque chose pour en vérifier la régularité, l’exactitude, la validité, la qualité et le bon fonctionnement.
Pour s’assurer des bons résultats dans l’exercice en cours et répondre aux attentes de la population qui croit en la vision du président de la République, celle du peuple d’abord, L’OCC dans sa mission principale, celle d’effectuer des contrôles de qualité, de quantité et de conformité de toutes marchandises, mais aussi dans le cadre de ses prérogatives d’ analyser tout ce qui est échantillons et produits et de procéder au contrôle techniques de tous appareils et travaux ,a reçu dans ses locaux la visite de travail mercredi dernier le ministre de tutelle en charge du commerce extérieur Jean Lucien Bussa.
Première étape de cette visite, l’accueil du ministre dans la cour du siège central par le Président du Conseil d’Administration Placide Tshisumpa, le Directeur Général Célestin pierre Risasi Tabu ainsi que d’autres cadres. 2ième étape, la salle de formation.
Dans son mot de circonstance,le Directeur Général de l’Office congolais de contrôle, Célestin Pierre Risasi a présenté à l’hote du jour les défis auxquels cet établissement public est confronté.
« Sans chercher à ériger un mur de lementation loin de Jérusalem mais simplement animé par le désir d’éclairer davantage le chemin que nous serions appelés à parcourir ensemble si Dieu nous en fait grâce, je voudrais saisir cette opportunité pour exposer sommairement quelques défis majeurs sur la pente des progrès de l’OCC », a dit le DG.
Au nombre des défis citées par Célestin Pierre Risasi figure ceux porteur des défis corollaires qui n’est rien d’autre que le déploiement continu de l’infrastructure de contrôle de qualité à travers soit le réaménagement, soit la construction des nouveaux laboratoires physico-chimiques microbiologiques. Les autres préoccupations sont liées aux laboratoires dentaires, mecano physiques et des contrôles électrotechniques et métrologiques… D’où la necéssité d’aller vite et plus loin encore face notamment aux enjeux de la libéralisation croissante des échanges au niveau régionale, continentale et internationale.
L’ensemble de ces défis convoquent non seulement le renforcement du socle des accréditations mais aussi le renforcement des capacités humaines techniques et matériels d’internationalisation accrue du périphérique opérationnel de l’Office congolais de contrôle. Autre chose,la mise en œuvre des protocoles d’accord de collaboration conclus au niveau régional entre l’OCC et les organismes homologues dans le domaine de la normalisation et de l’évaluation de la conformité.
Face à ces défis le DG de l’OCC a sollicité l’implication du ministre.
» Nous nous sommes retrouvés ici pour réfléchir chacun à son niveau sur l’émergence de l’Office congolais de contrôle », a t-il indiqué avant de poursuivre en affirmant que si l’OCC en soi n’est pas à présenter, les défis permenent et émouvant auxquels il est confronté exigent en revanche le mouvement de présentation. En se livrant de nouveau à cette obligation au delà des échanges des bureaux, le DG Risasi a tenu à consolider sa certitude de pouvoir compter sur le leadership éclairé du ministre dans la quête des solutions appropriées pour le plein épanouissement de l’Office congolais de contrôle et la satisfaction de toutes les parties intéressées.
Félicitant à son tour les cadres de l’OCC pour le travail abattu tout au long de son mandat, le ministre reconduit du gouvernement de l’Union sacrée a quant à lui souligné qu’ensemble ils ont pu relever plusieurs défis, d’où la promesse de travailler d’avantage avec l’OCC, l’un des organismes au service de la nation.
» Nous allons ensemble durant ce mandat renforcer le contrôle de la production locale, appuyer la production locale, finaliser les travaux du bâtiment devant abriter le laboratoire moderne », a fait savoir le ministre avant de préciser que » pour marquer la détermination de redonner à l’OCC la place qui est sienne dans le commerce mondial et relever les défis et profits de la Zone de Libre Echange Continentale Africaine( ZLECAF), l’OCC doit être au cœur de l’action économique. » Le ministre a assurer les cadres de l’Occ de sa confiance pour cause de leurs compétances avant de leur garantir de sa volonté à renforcer ensemble le contrôle d’import-export en construisant plusieurs laboratoire et informatiser les services pour une bonne traçabilité des recettes. »
Autre étape de cette visite , la direction de marketings de cet établissement public qui a présenté au ministre 3 ouvrages produits par l’OCC qui s’inscrivent dans le cadre des exigences de l’Organisation Mondiale du Commerce. Dernière étape de cette visite du ministre ,la séance de travail à huis clos qui a eu lieu au cabinet du Président du Conseil d’Administration situé sur l’ex avenue du flambeau dans la commune de la Gombe.
Edouard FUNDA
